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  • Photo du rédacteurSarah | Playtogothere

[ÉTÉ 2018, Episode 1 | TOURS - NOIRMOUTIER | 357 KM]


Après quelques semaines "loin" de mon vélo, j'avais déjà envie de reprendre la route, de profiter de la liberté qu'offre le voyage à vélo... Ni une ni deux, tout s'organise en vitesse, et je repars pour 18 jours à sillonner la France.

Mélodie, une amie depuis le collège, décide de me suivre jusqu'à Noirmoutier où elle va profiter de quelques jours de vacances. C'est donc sur la Loire à vélo que l'histoire recommence puisque nous étions déjà parties ensemble il y a 7 ans avec 3 copines de lycée sur ce même itinéraire.

Nous sommes le 7 août et nous voilà à nouveau réunies pour parcourir la Loire à vélo. Le temps passe vite mais le plaisir est toujours le même.

Une chose est sûre, nous n'aurons pas froid sur notre vélo ! La ventilation intégrée au vélo refroidit à peine le moteur, les litres d'eau non plus. Seuls quelques micro-gouttelettes viendront nous rafraîchir dans l'après-midi mais rien d'inquiétant.

Après une averse matinale, le thermomètre est redescendu, ce qui n'était pas pour nous déplaire.

Définitivement, la vallée de la Loire est belle. On ne s'étonne pas d'y croiser autant de cyclistes tant le chemin nous offre quelques vues sympathiques. Je ne me lasse pas de cet itinéraire "plat" (guillemets nécessaires après deux belles côtes à Saumur puis à La Possonière). En avril j'avais dû éviter quelques passages inondés suite aux crues, cette fois, la Loire nous offre bien ses rivages.

Du puissant brumisateur ce matin aux très grosses averses cette après-midi, nous avons passé la journée dans des vêtements humides, très humides ! Au début c'est pénible, à la fin on en rigole car quitte à être trempées, autant avancer.

La veille au soir nous avions fait nos calculs : il nous fallait partir à 8h pour parcourir les 50 kilomètres qui mènent au passage du Gois et arriver à temps pour la marée basse (10h45). Après ça nous avions 1h30 pour passer sinon c'était un détour de 7 kilomètres pour prendre le pont.

Mission accomplie en temps et en heure après de bons coups de pédales ! On gagne deux douches : une pour rincer nos vélos plein de sel et une pour nous après 322 kilomètres depuis Tours.

Au programme de cette journée de repos, des occupations locales : découverte de la pêche à pieds pour ramasser des palourdes, suivie dans l'après-midi par une ballade à vélo dans les marais salants

avant de reprendre la route seule direction La Rochelle, puis Bordeaux et enfin Toulouse le lendemain.


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